Ma chemise me suffira pour ce soir, j'entends moins ton souffle, ça doit être ce froid qui m'assourdit...
Mon portable continue de déconner sur le carrelage pendant que je recrache ce froid dégueulasse.
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Y a rien qu'est cuit.Rien d'fini.
Les yeux ouverts et tout est flou.J'te vois même plus, tu me tournes déjà le dos.
Du noir partout, ça coule sur le rose à mon tour, rien qu'à moi.
Putain, des fois j'y crois, à en serrer les doigts, et si j'pouvais, si j'avais des ongles, j'aurais des trous dans mes paumes.
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Elle ne parle plus la même langue, Elle n'a pas la tête où elle voudrait qu'elle soit, l'anesthésie partielle provoque un silence, le raisonnement de sa voix ne s'y fait plus, n'y est plus, elle est perdue, toute bête, les aiguilles ne lâcheront pas ses rétines.Ses erreurs lui font faces, faucheuses d'espoirs, le crie fait son échos à son tour.Sans bruit, sans nouvelle, il s'est retourné dans sa tombe.
You are not here.Stop.
Mon portable continue de déconner sur le carrelage pendant que je recrache ce froid dégueulasse.
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Y a rien qu'est cuit.Rien d'fini.
Les yeux ouverts et tout est flou.J'te vois même plus, tu me tournes déjà le dos.
Du noir partout, ça coule sur le rose à mon tour, rien qu'à moi.
Putain, des fois j'y crois, à en serrer les doigts, et si j'pouvais, si j'avais des ongles, j'aurais des trous dans mes paumes.
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Elle ne parle plus la même langue, Elle n'a pas la tête où elle voudrait qu'elle soit, l'anesthésie partielle provoque un silence, le raisonnement de sa voix ne s'y fait plus, n'y est plus, elle est perdue, toute bête, les aiguilles ne lâcheront pas ses rétines.Ses erreurs lui font faces, faucheuses d'espoirs, le crie fait son échos à son tour.Sans bruit, sans nouvelle, il s'est retourné dans sa tombe.
You are not here.Stop.