Kiri

Lundi 29 novembre 2010 à 20:24

Ici, c'est le Loiret et depuis hier, on parle bien de nous...La NEIGE.
C'est beau, c'est joli, on se croirait dans une boule en cristal d'ailleurs, celle que l'on secoue pour faire tomber des trucs .Et ces trucs ce sont en apparences des flocons...
Enfin, plus de transport, plus d'electricité.
CA-TA-CLISM' !!! que dis-je ?! L'ENFER !

XXIeme siècle, sans electricité ni plastique ce ne serait plus rien.Quelle betise.


Et c'est encore plus bête quand on utilise cela, pour dire ce que j'écris en ce moment même, grâce à l'internet et donc à l'electricité...U__U'





Sinon je suis contente, joviale et gentille.

===>" Quand je lui parle, c'est comme la neige : ça s'entasse et puis ça fond, sans aucunes traces."

Publié par K!R!

Dimanche 28 novembre 2010 à 19:18

_Pourquoi tu n'écris que des choses tristes ?

Je te repondrais bien comme Nell, le malheur est la chose la plus comique au monde.



Lire ces mots, ces quelques pages, m'a fait si mal que je n'ai pas eu le courage de rester avec eux. Il me fallait un temps, un temps assez court pour remettre mes idees. Je suis comme une horloge qui découle le temps et qui, à un moment, se dérègle par un enfant tirbulent.Ce ne sont que des mots, mais tellement difficile à lire, à s'en crâmer les yeux, que ça m'a déboussolé...en quelque sorte...

Publié par K!R!

Mardi 2 novembre 2010 à 17:05



.Et 5min plus tard, la foule à peine quittée, nous remettions ce son qui nous a déchainé.

Publié par K!R!

Dimanche 3 octobre 2010 à 22:15

http://kiri.cowblog.fr/images/ciel.jpgUn goût amer, comme des appréhensions, un sixième sens qui sonne le gong, un coeur qui ne parle plus tout simplement. Ce goût de ne plus sentir une étreinte qui crie "je te veux", remplacé par une légère caresse sur le bras, et dans ces ébats juste le sentiment que cela fait toujours du bien mais que ça ne veut plus dire "je t'aime". Les mots tels que l'ennuie ou se lasser apparaissent dans son regard, dans ses réponses. Avant on devait vider régulièrement notre boîte de réception avant de bloquer littéralement le portable, on décomptait facilement 2000 en quelques jours à peine, à présent, cela prend des semaines avant de vider tout ça, on compte un à un les messages, 3-4 sans plus. Stupide, nous dira-t-on? Enfantin? Oui, sûrement, mais les détails, cette accumulation font parti de nos soucis, nos sourires ou nos craintes.Quand la tromperie se fait sentir ne regarde-t-on pas dans le mobile de l'autre quand il nie nos réponses en écoutant qu'à demi? On s'attache avec nos détails en s'incrustant parfois, comme habitude. Alors une technique hypocrite et bête: râler, s'énerver, dire que ça nous fait mal et comme ça , on est sûr d'avoir de ses nouvelles, on parle dans le vent mais tant pis, il a bien voulu accorder de son temps. Se débattre avec chacuns de ses choix, on est près à tout, à tout foutre en l'air au final, mais pourquoi ça n'entend rien ? ou ça ne veut peut-être plus...On est là, ici...mais où? Près de toi...ça finit par j'm'en fou, ça nous atteint pas, on est pas comme ça...On s'est peut-être trompé, on était sûr d'être bien tombé, dans son monde, ce monde où ce "Elle", ce "On" , ou encore ce "Moi", est textuellement et visiblement transparent, nous ne sommes plus.



Publié par K!R!

Dimanche 3 octobre 2010 à 13:53

Tout début à une fin. Ma fin ne sera pas longue. On s' y habitue et l' on s'arrange. Pessimisme engorgé. Les paroles font bien mal à leurs heures.

Publié par K!R!

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